Les
mots, tour à tour capricieux ou malicieux, s’échappent certains soirs.
Ils quittent mon univers sans trouver le chemin de ma page qui reste
vierge. Et puis, sans vraiment comprendre pourquoi, sans doute pris de
remords, ils reviennent, me sautent au cou au cœur de la nuit… et tout
s’organise… comme s’il ne s’était rien passé, qu’ils ne m’avaient pas
faussé compagnie. Sacrés garnements !
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