Nous pouvons reconnaitre la
qualité d’une maison d’édition par son sérieux, son travail, le
suivi de ses auteurs. Si nous ajoutons le respect d’un code d’honneur, là tout
se complique.
Les marchands de livres d’aujourd’hui
ont leur clientèle, leurs auteurs, et ne cherche même plus à transmettre les
manuscrits reçus à un éventuel comité de lecture. Pourquoi chercher d’autres talents ?
Il rentre assez d’argent dans les caisses. Pourquoi faire son travail puisque
les finances peuvent garantir de rester pignon sur rue ?
Sur l'ensemble de mes manuscrits envoyés et
tous rendus, (c’est l’avantage du courrier suivi), aucun n’a fait l’objet d’une
lettre de confirmation. Je n’ai pas de leur nouvelle depuis 6 mois pour les premiers.
Ce manque de respect et de considération me sidère.
Je mesure ta déception mais j'espère que bientôt de bonnes nouvelles se glisseront dans ta boîte aux lettres ! Bises patience
RépondreSupprimerPatience, patience! Usant...
SupprimerMerci pour tes encouragements.
Bises du bout de ma plume.
Cette situation n'est pas nouvelle et je pense qu'elle s'aggrave, en plus. Nous vivons dans un monde où l'argent est roi, hélas. Courage.
RépondreSupprimerLa marchandisation de l'art est une lèpre, un cancer... ça nous rend malade.
SupprimerNe pas se détacher de l'essentiel: écrire.
Merci pour les encouragements.