Loches et ses intrigues, c'est fini...

 

Mais où sont les lecteurs?

Le soleil plus que présent et une vraie journée d’été ont incité les lecteurs à rester auprès du barbecue, dans leur jardin… à siroter un verre de rosé bien frais. Comme je les comprends.

Mais pour les généreux organisateurs du salon de Loches, ce fut une vraie déception. Peu de monde en retour de leur disponibilité, de leur accueil chaleureux.

Heureusement pour nous, les autrices et les auteurs, cette journée était l’occasion de se retrouver ou de se découvrir dans des moments bonheurs. Le partage lui était bien là, et c’est ça que j’aime.

Merci particulier à Odile Villois et Sylvain Moraillon pour nos éclats de rires bien synchronisés.

 

Dans la ville...

... comme un jeu de piste.

Salon "Le temps de lire", Chinon (37) les 27&28 avril 2024.

 

Loches juste terminé, en route pour Chinon, mon prochain salon...
A noter dans vos agendas!

Salon de Loches (37), le 14 avril 2024.

 Bonsoir mes amis!

Petit rappel pour les lecteurs amateurs de frissons,
d'angoisse et de suspense,
je serai au salon de Loches dimanche prochain.

Bavardages garantis...

Salon du livre de Chinon (37), les 27 et 28 avril 2024

 

Bonsoir à toutes et à tous…

Le salon du livre de Chinon se précise. Je prépare mes cartons… et … je me rends compte que je risque de manquer de livres. Je dois donc m’organiser pour faire rapidement un tour chez mon éditeur. Je suis une incorrigible tête en l’air.

Mais sûr, j’en aurai suffisamment pour vous...

 

Un soir, deux soirs… une semaine de soirs à rayer ou à triturer ce qui a été écrit la veille.

 

Mon histoire piétine un peu. Raconter la deuxième partie s’avère pleine de découvertes inattendues. J’ai bien les personnages, les lieux, mais les enchainements révèlent leurs pièges tordus qui m’embarquent sur de mauvaises pistes. Alors je reprends les passages. Un soir, deux soirs… une semaine de soirs à rayer ou à triturer ce qui a été écrit la veille. Pendant ce temps-là, la suite de l’aventure fait la sieste, et ce n’est pas bon. Ni pour les protagonistes, ni pour l’auteur.

Le doute revient et s’installe confortablement au beau milieu de mes dictionnaires, de mes notes, de mon logigramme.

Voilà donc tout un weekend où j’ai laissé ce joli monde mijoter dans son jus en espérant rapidement y mettre de l’ordre. Qu’il en profite, demain je reprends l’affaire en main. Et j’ai ce qu’il faut pour.

Il est vrai qu’il a abusé, ce petit monde, de ma préparation au salon de Loches pour prendre ses quartiers de printemps. Qu’il dorme tranquille cette nuit, demain sera une autre paire de manches. Fini de lézarder à la terrasse du café place Jules Cibot.

Je ne lâche rien.